Nurimono no Gaûn

- Part One - You briefly

>Principales Qualités : La Tenacité >Principaux Défauts : Être un brin trop distrait >Relation(s) ? : A déjà trouvé son âme soeur >Autre(s) ? : Une seule conviction, un seul objectif : se battre pour son pays

>Sexe : Masculin >Âge : 21 ans >Date & Lieu de naissance : 4 Avril 713 dans un village de Tarian >Guilde : Djinn Arms >Statut / Rang : Rang D >Armes ? : Une certaine polyvalence : capable de manier une épée, une lance, un baton de combat aussi bien qu'un arc ou que de se battre au corps à corps. Mais malgré tout une meilleure maitrise du baton de combat. >Magie : Bokujuu Maho (magie de l'encre)

- Part Two - Tell Us As You Are Beautiful... or not.
>Taille : 1m78
>Poids : 72 kg
>Yeux : Noirs
>Cheveux : Noirs
>Peau : Blanche
>Corpulence : Plutôt élancé
>Signe particulier : Si ce n'est cette mèche qui tombe sur son front, il n'y en a pas. Aucune cicatrice ou tache de naissance.


- Part Three - More About You

>Qualités : Loyauté, Courage, Tenacité, Détermination, Franchise (pas hypocrite en gros).
>Défauts : Distrait, Quelques tendances perverses, Franchise (ça peut blesser ou faire de lui la cible de certaines animosités), Tenacité (très légèrement tête de mule).
>Phobies : A tendances à avoir peur des reptiles.
>Hobbys : La peinture, la peinture, l'entrainement, et aussi la peinture
Autre(s) : Une entente loin d'être parfaite avec son âme soeur. Du genre pas loquace du tout, vestiges des drames de son passé. Un sens de l'observation extrêmement développé.

En détails :

Allo ? Ca marche ? Vous m'enregistrez bien là ? Attendez que je m'éclaircisse la gorge. *toussote*. Ne faites pas cette tête là ? Vous n'avez jamais vu de pinceaux papoteur ? Bah c'est chose faite à présent. Alors, voyons voir. Que puis-je vous dire sur mon âme soeur. Je sais tout de lui, que ça lui plaise ou non.
Bon avant tout, ne croyez pas qu'entre lui et moi tout est toujours rose. Son caractère confronté au mien ... ça fait des étincelles et pas qu'un peu. Pourquoi ? Simplement car cet entêté passe son temps à m'ignorer. Olala, il est incapable de fixer son attention plus de quelques secondes. Impossible d'entretenir une réelle discussion avec lui. Je me demande même comment il fait pour peindre. Un véritable mystère. Voyez vous, je suis un peu, mais alors un tout petit peu... bavard. Et le minimum, la politesse la plus élémentaire, celle que tout le monde respecte est d'écouter. Mais non Môsieur n'en a cure et préfère se détourner de moi sans même lever un sourcil. Grrrr que ça m'agace. Mais ce n'est pas tout. Le pire du pire c'est quand une jolie fille a le malheur de passer par là. Alors là, là c'est le pompon. J'ai beau être son âme soeur, il m'oublie totalement, il boit les paroles de son interlocutrice. Totalement changé cet homme chargé en hormone. Il a beau prétendre que c'est de son âge, cela ne change pas les faits. En plus je sais qu'il n'écoute pas ce qu'elle dise. Il donne juste l'IMPRESSION de boire leurs paroles mais en fait, il fait plus les voyeurs qu'autre chose. Il me fait honte ... Il me fait d'autant plus honte qu'il n'a aucune tenu. Je vous l'ai déjà dit mais je vous le répète, il ne respecte pas les politesses les plus élémentaires. Il manque délibérément de tact. Trop franc, il ferait mieux de mâcher ses mots parfois... souvent !
Bon ... Je vous ai peint *fou rire* .... iirk... irk... "Je vous ai peint" mouhahahahaha... *soupir* enfin bref ... Je vous l'ai décrit dans ses mauvais aspects. Mais il est parfois d'une compagnie agréable. Sa franchise n'a pas que des mauvais côtés. Outre le fait que lui et moi partageons la même passion à savoir la peinture, pour laquelle il est très doué, je trouve que c'est un homme de confiance. Il est fidèle, et ne renonce jamais. Il est prêt à faire beaucoup de chose pour accomplir sa mission, pour défendre sa patrie. Et ça... ça c'est honorable.
Mais malgré ça il reste qu'un pervers têtu et inattentif....



- Part Four - Tell Us Your Past

Vous vous posez des questions sur son passé ? Oui oui ! Notre lien me permet d'avoir accès à ses souvenirs et lui aux miens. Pas super cool finalement d'être l'âme sœur de quelqu'un hein ? Bon je vais vous raconter, mais c'est bien parce que c'est vous.

Ce jeune blanc-bec est né un 4 Avril, mais je pense que vous le saviez déjà. Sa famille n'était pas riche, il était le premier d'une fratrie de 4 jeunes garçons. Dans l'ordre : Gaûn, Keizu (1 an plus jeune), Haleth (3 ans plus jeune) et le petit dernier Effer (8 ans plus jeune). Ses parents vivaient une vie médiocre : sa mère était femme au foyer et son père devait enchaîner deux travaux pour pouvoir subvenir à leur besoin : le travail difficile de charpentier et le travail peu réjouissant d'éboueur dans l'équipe de nuit. C'est probablement de son père qu'il tire toute sa ténacité. Il m'en parle toujours en bien, comme de Keizu son frère. Contrairement à ce dont on pouvait s'attendre, les deux plus vieux n’étaient pas des rivaux. En même temps c’aurait été futile. N'ayant rien à obtenir, rien à démontrer, il n'y avait aucun intérêt pour eux d'être rivaux. Son frère cadet est d'un naturel extrêmement réfléchi. Il a accueilli les capacités magiques de son frère avec fierté, contrairement au troisième mais ça c'est une autre histoire, le dernier est bien trop jeune pour pouvoir avoir nourri une quelconque rancœur envers son aîné.

Revenons-en à Gaûn. Donc il est né un 4 Avril comme je l'ai dit. Et comme beaucoup, il a souffert de la faim et de la soif. Il a été éduqué malgré lui dans la haine de la nation rivale de Tarian : Deras. L'école de son village était quelque peu ... particulière, mais la directrice Mme Yazu était d'une grande clairvoyance. Nul ne sait par quel miracle, mais cette femme d'un certain âge avait prédit qu'une guerre éclaterais entre les deux nations. Son amour pour les enfants l'avait conduit à remplacer les cours de langues, de mathématiques et de sports par des cours d'escrime et de magie pour les rares qui comme Gaûn avait montré faire preuve de quelques facultés magiques. En fait seule l'histoire était enseignée, car d'après Mme Yazu, il est important d'apprendre des erreurs du passé. Sage femme vous ne trouvez pas ? Donc dès sa tendre enfance, Gaûn fut entraîné à se battre. Dans une optique ludique, les exercices se faisaient avec des bâtons en mousse qui réveillèrent l'intérêt de mon âme soeur pour ce style de combat. En mettant les petits en compétition comme cela, elle fit grandir en eux une volonté de se surpasser, de ne jamais rien lâcher pour leur patrie. Sans cette femme Gaûn ne serait pas devenu la moitié de l'homme qu'il est aujourd'hui.

Bref son quotidien n'a pas grand chose d'intéressant. Laissez-moi plutôt vous parler de la découverte de son pouvoir. Gaûn regardait souvent sa mère lorsqu'elle tricotait. Il m'a confié qu'il l'admirait énormément, qu'il ne retrouvait en aucune femme la douceur, la patience et la gentillesse dont était habitée sa mère. Un jour il lui demanda pourquoi elle passait ses journées à tricoter, et elle lui répondit qu'un loisir l'aidait à sortir du quotidien, à s'évader et à oublier leur situation quand son époux n'était pas là. Elle alla même jusqu'à lui conseiller de se trouver lui même une activité pour le distraire. Ce qu'il fit. Après de nombreux faux pas, il finit par s'intéresser à la peinture. N'ayant pas de cours d'arts à l'école, n'étant pas riche, il n'avait pas accès à l’onéreuse peinture. Il était encore jeune, dans les 6 ans je pense. Quand "spontanément" d'après lui, il se rendit compte que son corps sécrétait de l'encre, et qu'elle pouvait être colorée. C'est tout naturellement, sans aucune crainte qu'il accueillit son pouvoir. Il en fit part à sa mère, son père et ses frères. Tous furent d'abord surpris puis fier de lui. Tous sauf Haleth qui avait du mal à ne pas voir son frère comme un monstre. Cette peur nourrit peu à peu sa rancœur qui se transforma en haine et conduit son frère à faire ce qu'il allait faire ensuite.

Conformément aux prédictions de Mme Yazu, la situation du pays pâtit encore. La nourriture se fit rare, et les vivres en provenance de Deras se firent de plus en plus rares jusqu'à ne plus être. A cette époque Gaûn avait atteint ses 20 ans et aider son père à subvenir aux besoins de sa famille. Depuis peu il avait postulé pour intégrer la guilde royale Djinn Arms, et avait passé les tests de sélection avec brio. Il ramenait donc de l'argent chez lui en accomplissant des missions, en aidant les citoyens du pays. Il travaillait avec acharnement, et durant son temps libre, il continuait à s'entrainer en suivant les recommandations de Mme Yazu. Il en avait presque mis la peinture de côté durant cette période. Si cela pouvait sembler être une bonne chose, une source de fierté pour toute la famille, Haleth le troisième de la fratrie ne l'entendit pas de cette oreille. Ce jeune rebelle décida de montrer à toute la famille sa propre détermination, sa haine envers son ainé en fuguant. Gaûn l'apprit plus tard malgré lui, mais Haleth avait réussi à franchir la frontière entre Deras et Tarian et avait rejoins l'armée ennemie.

Puis ce qui devait arriver arriva, la guerre éclate. C'est dans ce contexte que Gaûn et moi nous trouvâmes. Il fut volontaire pour rejoindre un bataillon et aller au front. C'était son devoir d'aller au front. Du moins c'est ce qu'il pensait. Les adieux furent déchirants, il embrassa sa mère, son père et son plus jeune frère (Keizu avait aussi été réquisitionné pour la guerre). Puis il se rendit à son école, remercié une dernière fois Mme Yazu pour sa clairvoyance. Se fût-elle qui m'offrit à lui. Elle m'avait en sa possession depuis des années. Je remplaçais son défunt mari en quelque sorte. A cet instant nous ne savions pas que nous étions des âmes soeurs, mais son caractère me hérissait déjà le poil *fou rire*... Enfin bref ... C'est dans la caravane pour le front que nous fîmes un échange qui nous lia définitivement lui et moi. Je m'adonnais en effet à mon activité favorite : la peinture. Lorsque du haut de sa grossièreté il m'empoigna par le manche et ajouta quelques traits à ma toile. D'abord offusqué par ce geste, je m'aperçus que cet échange de créativité était plus que cela encore. Je compris immédiatement ce qu'il en était. Les yeux du jeune homme me laissaient penser que pour lui c'était une toute autre histoire. Mais nous en étions là, nous étions liés, lui et moi. Si si je vous assure, j'ai bien une âme, mais c'est une autre histoire.

Quoi ? Vous voulez l'entendre ? Très bien... ça va être bref. Alors je suis un pinceau comme vous pouvez le voir, et j'ai bel et bien une âme. Cela vient du fait que le bois dans lequel j'ai été taillé n'était autre que le bois sacré d'Adam. Du moins c'est ce que m'a dit mon sculpteur, un certain Gepetto. Et comme toutes les créations issues de cet arbre, je suis douté d'une âme et de la parole, j'ai aussi la particularité de pouvoir m'étirer, m'allonger, changer mes propriétés en quelques sortes comme la taille et la rigidité. Il me semblait qu'il était occupé à créer un pantin quand nous nous sommes séparés. Cet homme était un sculpteur reconnu, et je n'étais en réalité qu'une commande passée pour un noble d'Antartsia. Donc un jour je partis sur le chariot de marchandise en direction d'Antartsia. Comme vous avez pu le constater, j'ai atterri à Tarian dans les mains de Mme Yazu. En réalité le convoi dans lequel j'étais était un convoi particulier, bondé d'objets précieux et magiques en tout genre. La sécurité de ce convoi, bien qu'à hauteur de la marchandise, ne sut se défendre contre l'attaque de brigands. Toute la marchandise fut volée et vendu aux quatre coins d'Elestreya. Ce fut M. Yazu, un membre de Djinn Arms, qui me racheta dans un vide grenier où j'étais vendu comme banal outils, au même titre qu'une fourchette ou un marteau. Ce brave homme est mort dans des circonstances inconnues. Un jour il est parti à la recherche des autres objets magiques du convoi, une mission que je lui avais confiée. On ne le revit que quelques semaines plus tard lorsque se dépouille fut présentée devant sa femme en pleurs. Je me sentais terriblement responsable de ce qui s'était produit et j'ai décidé de rester avec son épouse pour l'épauler dans son épreuve. Je ne sais pour qu'elle raison cependant elle a décidé de me confier à Gaûn.

Bref, quelques jours plus tard lui et moi arrivâmes au front. Je dois reconnaître sa vaillance. Je prends pour preuve que depuis un an, il se bat de toutes ses forces pour revendiquer le droit de son pays. Et bien sûr je l'épaule dans sa bataille, je suis son âme soeur après tout. Tout cela aurait put devenir une routine si seulement nous n'avions pas affronté un adversaire pour le moins inattendu. Un jour face à nous sur le champ de bataille, en armure, se tenait nul autre que son frère Haleth. Tout juste âgé de 18 ans à l'époque, il s'était immédiatement engagé dans l'armée pour assouvir son désir de vengeance envers son frère qui lui avait volé la fierté de ses parents. La volonté de Gaûn fut mise à rude épreuve par cette bataille, cet affrontement contre son jeune frère. Il ne voulait lui faire de mal, mais plus vieux et plus expérimenté, il le dominait de but en blanc, aidé de son excellent sens de l'observation, il prévoyait les coups de son frère et les parait avec facilité et élégance. Cependant incapable de l'achever lorsque celui-ci fut à terre, les larmes ruisselaient sur son visage. Je sentais parfaitement les sentiments contradictoires qui l'animaient : l'amour envers son frère d'une part, l'amour de sa patrie de l'autre. Mais il ne pouvait voir son frère comme un ennemi. Immobile au milieu du champ de bataille, il était une cible parfaite pour les archers face à lui. Les derniers mots qu'il prononça à l'encontre de son frère furent : "Je ne peux pas faire ça ... Je ne peux pas tuer mon propre frère.". Et celui-ci se releva en même temps qu'un trait provenant de son camp et visant Gaûn fut tiré. Il brandit son épée dans un rictus de haine en visant un Gaûn anéantit en lui criant qu'il était faible et méritait pleinement de mourir. La plus pure coïncidence voulu que le trait se ficha dans le dos d'Haleth qui s'effondra dans les bras de son frère tandis que l'armée de Tarian faisait une percée. Les mains tâchaient du sang de son frère, les yeux tremblant de larmes et de surprise, de colère envers Deras, il poussa un cri remplit de douleur. Je sentais sa santé mentale basculer peu à peu, jusqu'à ce qu'il sombre dans l'inconscience. Suite à cet incident, il ne parle presque plus, rongé par son chagrin. Il lui faudra du temps pour faire son deuil. Le roi a décidé de le réintégrer dans la Djinn Arms pour l'éloigner du front où de nombreux soldats dont son frère sont morts. Son cadet Keizu lui y est encore à ce que je sais. Mais la vie continu, et nos aventures ne peuvent s'arrêter ici... qui sait si un jour il ne retournera pas défendre sa patrie ?

- Part Five - Magic

Description générale de votre magie

La Magie de l'Encre maitrisée par Gaûn peut être employée sous deux formes.

• La première consiste simplement à générer de l'encre pour lui donner forme et l'employer comme telle. Une utilisation prolongé de cet aspect du pouvoir puise peu à peu dans les réserves magiques du lanceur.
  
• La seconde consiste à l'utiliser pour dessiner un maquillage sur le corps du mage; ce maquillage magique aura la faculté d'augmenter de façon considérable les capacités de ce dernier. Une utilisation prolongé de cet aspect du pouvoir puise peu à peu dans les réserves physiques du lanceur.